« En droit de la famille, on trouve souvent des cabinets unipersonnels. Chez BWG, nous sommes huit associées : il était impensable pour nous d'exercer de manière artisanale. C'est dans l'ADN même du cabinet d'avoir des outils performants et une structure solide, dupliquant les standards du droit des affaires. J'ai toujours travaillé avec un logiciel métier, et je ne conçois plus de m'en passer. »
« Tout le monde utilise Secib : des assistantes qui ouvrent les dossiers aux associées, collaboratrices et à la comptabilité. C'est notre outil central de suivi du temps passé et notre facturier. Nous utilisons l'ensemble de ses fonctionnalités : en pratique, toutes les personnes du cabinet travaillent avec Secib. »
« Je me réjouis de la montée en puissance de l'IA. Je perçois l'avocat comme un « conseil augmenté ». L'IA libère du temps pour les tâches sans valeur ajoutée et pour le conseil hyper-personnalisé. Nous avons été volontaires pour tester le module d'IA Septeo. Quand on a pris connaissance [de celui-ci], on s'est rendu compte qu'il y avait des fonctionnalités un peu oubliées ou pas assez utilisées à faire revivre : les matrices. Parce qu’il y a du temps à gagner dans la rédaction d'acte [...], 30 à 40 % d'un document peut être normé utilement. Au cabinet, tout le monde a le même type de document et ça prend effectivement la forme de matrice. »