À l’heure où la majorité des recherches juridiques commencent sur Google, la présence digitale des avocats est devenue un levier essentiel de visibilité, de pédagogie et de contact. Pourtant, de nombreux professionnels du droit négligent encore leur communication en ligne, ou commettent des erreurs qui peuvent nuire à leur image ou à leur développement.
Voici 5 pièges dans lesquels même les avocats les plus aguerris tombent encore lorsqu’il s’agit de leur présence digitale. Un peu de recul, un soupçon d’auto-dérision… et quelques pistes concrètes pour faire mieux.
De jolis sites, mais non conformes, lents, non sécurisés ou vides de contenu… ça pullule. Trop d’avocats font appel à des agences généralistes ou à des freelances sans connaissance du monde juridique. Résultat : des mentions légales absentes, des formulaires non conformes au RGPD, ou encore des pages qui flirtent avec l’interdit déontologique.
Faire appel à un prestataire spécialisé dans la profession d’avocat, c’est gagner en tranquillité, conformité, et crédibilité. Un avocat a des contraintes précises. Un prestataire non spécialisé, c’est souvent un nid à erreurs coûteuses. De plus, les prestataires généralistes ne disposent ni de l’expertise nécessaire pour produire un contenu juridique pertinent et optimisé pour le SEO, ni de la connaissance fine des évolutions du marché et de la profession d’avocat.
Être visible à Paris, Lyon, Bordeaux ou en milieu rural, ce n’est pas la même chose. Trop d’avocats oublient que Google privilégie les résultats géolocalisés. Il est donc essentiel de travailler son référencement local :
Cela permet à un justiciable qui tape “avocat droit du travail Toulouse” d’avoir une chance réelle de vous trouver.
Les réseaux sociaux ne sont pas un canal de démarchage, mais un outil de visibilité et de pédagogie. LinkedIn, par exemple, permet de partager des actualités juridiques, de faire de la veille, ou de publier des contenus à destination de confrères ou d’une audience professionnelle. Avec Instagram, LinkedIn est le canaux principal de recrutement de nouveaux collaborateurs au sein de votre cabinet.
D’autres plateformes comme Instagram ou Facebook peuvent avoir un intérêt selon votre clientèle cible. L’essentiel est d’adopter un ton informatif, sobre, conforme à la déontologie, et surtout de publier régulièrement. Un compte inactif renvoie une image de négligence.
Un site sans contenu est un site invisible. Produire du contenu juridique régulier et pédagogique (articles, FAQ, vidéos, infographies) permet :
Attention, ce contenu doit être factuel, clair, mis à jour, et ne pas être commercial.
Publier uniquement sur Facebook, se contenter d’un site sans blog, ou miser uniquement sur sa fiche Google Business Profile ? C’est une vision trop cloisonnée de la présence digitale. Aujourd’hui, un cabinet visible est un cabinet présent sur plusieurs canaux, interconnectés intelligemment.
Un article de blog alimente votre SEO, que vous pouvez relayer sur LinkedIn, qui ramène vers votre site, où un formulaire de contact permet de transformer la visite en rendez-vous. C’est cette synergie qui fait la force d’une stratégie digitale.
Un seul canal peut fonctionner… un temps. Mais dans un univers concurrentiel, seule une présence cohérente, multicanale, et alignée avec les attentes du justiciable vous permet de tirer votre épingle du jeu. Chaque outil doit alimenter l’autre pour créer un parcours digital fluide, du premier clic à la prise de contact.
Votre présence digitale d’avocat doit être conçue comme un prolongement de votre exercice professionnel. Informer sans promouvoir, être visible sans démarcher, expliquer sans promettre. Voilà l’équilibre à atteindre.
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