Le temps de réponse d’une infrastructure hébergée en Cloud peut différer par rapport à un système de stockage de données sur serveur dans l’étude. Guillaume Canard, responsable de la cellule Cloud chez Septeo, a dirigé une étude comparative sur ces différences en se basant sur des actions dans le logiciel iNot.
Certains clients ont signalé des lenteurs dans l'utilisation du logiciel aux débuts du déploiement du Cloud. Il était essentiel de quantifier ces ralentissements pour mieux comprendre leur origine. Nous avons comparé les performances du logiciel sur un serveur physique et dans le Cloud. Des mesures directes dans ces deux environnements ont été prises. Cette analyse a permis d'identifier les éventuelles sources de lenteur et d'engager des optimisations ciblées. Certaines actions sont similaires, tandis que d'autres sont plus lentes ou plus rapides.
Nous avons évalué les fonctionnalités de base du logiciel iNot, telles que l'ouverture de dossiers, l'accès à l'agenda, ou encore l'utilisation des simulateurs. Ces mesures ont été réalisées à la fois sur des environnements physiques et Cloud. Les actions impliquant un accès à quelques éléments sont légèrement plus lentes dans le Cloud. Le processus de requêtage peut entraîner des délais supplémentaires, notamment lors du traitement de volumes importants de données.
En revanche, pour les actions qui nécessitent peu de requêtes, le Cloud est tout aussi rapide que le serveur voir même légèrement plus rapide dans certains cas !
Notre analyse a permis d'identifier des axes d'optimisation pour réduire les délais constatés, notamment en réduisant le nombre de requêtes nécessaires pour certaines opérations. Cette démarche vise à adapter le fonctionnement du logiciel aux spécificités du Cloud, ce qui devrait permettre d'encore améliorer ses performances à l'avenir.
Lorsqu'un utilisateur signale des lenteurs sur le Cloud, notre équipe technique utilise le référentiel de performances pour évaluer si le comportement observé est conforme aux attentes. Si des écarts significatifs sont relevés, nous entreprenons une analyse approfondie pour identifier les causes sous-jacentes. Elles peuvent être liées au réseau, à la base de données ou à d'autres aspects de l'infrastructure.
Actuellement, nous disposons de plus de 600 serveurs, et nous continuons à investir quotidiennement. Ces serveurs sont hébergés dans trois centres de données sécurisés en France. Leur maintenance est assurée par notre équipe dédiée, qui veille à garantir leur bon fonctionnement et leur disponibilité permanente.
Je lui conseillerais naturellement d’opter pour le Cloud, pour quatre raisons objectives :
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